Bonsoir mon très cher Ami,
je Vous remercie de Votre réponse.
Permettez que je continue à ma façon et ainsi Vous verrez quel genre d'idées m'inspire Votre pseudonyme. Vraisemenblablement je publierai ceci sur l'un de mes blogs. Ce sera mon troisième essai du genre je pense. Les deux premiers n'ayant pas mené bien loin. J'ignore si au final je garderai ce travail comme tel ou en tirerai les histoires. J'aimerais cependant parvenir à le conserver de la sorte. Ou au plus proche. Mais je n'en suis pas là. J'accumule doucement la matière et verrai bien au final ce que je pourrais conserver.
D'abord, je Vous remercie, encore. Pour cette proposition de rencontre : l'avenir N/nous dira, si vous voulez bien m'accompagner un petit bout de chemin, bien sûr. J'ai malheureusement constaté, jusqu'ici, que je pouvais bien avoir toute la volonté du monde : elle ne peut pas grand chose contre la distances et les complications diverses. M'être heurtée douloureusement aux murs déjà quelques fois a calmé mes ardeurs.
Mais revenons je vous prie, très cher Seigneur, au sujet N/nous occupant : le genre d'idées que Votre pseudonyme.
Alors voilà si Vous le permettez, au moins pour l'instant, je vais Vous considérer comme Le Seigneur. Il est vrai que c'est facile, Vous pouvez bien être mon Homme idéal puisque je ne sais de Vous que cela : Vous êtes Le Seigneur. Beau comme un Dieu (au moins à mes yeux), intelligent, m'aimant et me respectant tout comme je Vous adulerais alors.
Vous pouvez être doux, tendre, aimer mes provocations comme les recadrer. Etre juste, injuste... avoir des colères effroyables puisque rien de cela ne portera à conséquences.
Ce soir je suis Falballa : la reine des rêves perdus. Flottante entre songes et réalité, je m'approche pour Vous agacer doucement. Je vois, sens et entends encore jusque dans ma peau tous ces instants passés, réels ou non. Il me manque de les vivre encore. Une main tenant mes cheveux, relevant ma tête en arrière... et mon désir s'aiguisant. Je me débats, Le griffe au visage. Il me pousse. Je tombe. A Ses pieds. Je rêve : je n'ai rien senti. Je reste là. Sa voix gronde. Je baisse la tête. Positionnée dans un quatre pattes apeuré, légèrement surjoué. Ce n'est pas une de ces positions de soumissions classique. Non. Elle est plus naturelle. Plus animale. Les bras légèremment pliés. Le regard fuyant. Je l'aime pourtant. Quand bien même sortirait-Il Sa ceinture qu'Il ne me ferait pas vraiment de mal.
... Profitant d'un instant d'inattention, je Vous mords le bras. Et m'enfuis en riant. M'attraperez-Vous ?
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Je voulais poursuivre un peu, mais il me semble que c'est le bon moment pour Vous laisser la main.
Très cher Seigneur, je Vous remercie de m'avoir donné ce petit moment d'inspiration.
Je Vous salue bien bas.
Me permettrez-Vous, tout en me laissant cette part d'inconnu propice au rêve, d'être votre courtisane ?
Révérence.
Reine.
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